Description
Henri Michaud, professeur à la Faculté de théologie protestante de Paris, nous montre, à partir des inscriptions hébraïques gravées sur la pierre et les tablettes d'argile, comment celles-ci, par la forme de leur écriture et par leur contenu varié, permettent de se représenter, du point de vue c'e l'épigraphie, la civilisation qui vit éclore l'Ancien Testament et de mieux comprendre certains passages du Livre saint.
On suit l'évolution de l'écriture paléohébraïque depuis ses origines jusqu'à l'exil, où elle sera supplantée par l'écriture carrée, non sans demeurer longtemps encore en honneur pour la reproduction des textes sacrés, tels ces documents retrouvés dans les grottes de Qumrân. C'est par cette écriture que les hommes de l'Ancien Testament ont pu nous transmettre ce Livre « qui alimente la vie religieuse de millions d'hommes ».