« La BRI (Banque pour les règlements internationaux) a accepté de l’or volé. Les intérêts du Reich y prédominaient. Elle a fourni des renseignements financiers à la Reichsbank », lit-on notamment dans un rapport officiel récent de Washington. A cela, il faut encore ajouter que son patron employa pendant la guerre, puis protégea à la libération, des activistes nazis notoires.
Ce patron s’appelait Thomas Harrington McKittrick : le banquier américain de Hitler. Ce livre relate la succession de situations plus invraisemblables et condamnables les unes que les autres, qui conduisirent un citoyen américain à une collusion avec l’ennemi. Celle-ci ne fut rien d’autre qu’une trahison de la cause alliée.