Aux États-Unis, pays de refuge et d’adoption après son départ de l’Allemagne à la suite de son opposition au nazisme et où il enseigne depuis 1933, Tillich prêche régulièrement dans des chapelles de campus universitaire. Ses prédications, solidement enracinées dans sa théologie, sont aussi liées au contexte. En fin de guerre, celles publiées en français sous le titre Quand les fondations vacillent proclament que l’Évangile permet d’affronter et de surmonter les malheurs, y compris les plus extrêmes. Dans les années 1950, une paix fragile et menacée s’installe difficilement, et les prédications du présent recueil se centrent sur «le nouvel être», qu’incarne et qu’apporte le Christ: ce nouvel être est amour, liberté et épanouissement, trois termes qu’elles expliquent, commentent et concrétisent.
Traduit de l’anglais (États-Unis) par André Gounelle
Préface, p. 7
I. LE NOUVEL ÊTRE EST AMOUR
1. « Celui à qui beaucoup a été pardonné », p. 11
2. Le Nouvel Être, p. 23
3. La puissance de l’amour, p. 33
4. La Règle d’or, p. 39
5. De la guérison
(1re partie), p. 43
(2e partie), p. 53
6. Saint gaspillage, p. 57
7. Principautés et puissances, p. 61
II. LE NOUVEL ÊTRE EST LIBERTÉ
8. Qu’est-ce que la vérité ?, p. 73
9. Foi et incertitude, p. 85
10. Par quelle autorité ?, p. 89
11. Le Messie est-il venu ?, p. 101
12. « Celui qui croit en moi…», p. 105
13. «Oui et non», p. 109
14. « Qui est ma mère et qui sont mes frères ? », p. 113
15. « Tout est à vous », p. 119
16. «Y a-t-il une parole du Seigneur ? », p. 123
17. Voir et entendre, p. 135
18. Le paradoxe de la prière, p. 145
III. LE NOUVEL ÊTRE EST ÉPANOUISSEMENT
19. Le sens de la joie, p. 151
20. Ce qui nous concerne ultimement, p. 161
21. Le bon moment, p. 169
22. L’amour plus fort que la mort, p. 179
23. Universalité du salut, p. 185