Israël et la Palestine constituent dans la conscience occidentale et chrétienne un couple torturant et torturé. La définition biblique d’Israël, dans beaucoup d’esprits et depuis la création de l’Etat en 1948, trace une ligne qui veut ignorer qu’un peuple tiers – les Palestiniens d’aujourd’hui – a vécu et s’est enraciné sur la terre promise des juifs et des chrétiens.
Françoise Smyth-Florentin démonte les mécanismes d’une mystification des mythes bibliques de la terre et du salut.