Au cur du texte biblique, YHWH, quon nomme le tétragramme, quatre consonnes imprononçables, empruntées au plus essentiel des mots : le verbe être. Depuis lémergence du judaïsme et du christianisme, l« imprononçabilité » de Dieu ouvre à la quête de son mystère. Des générations de commentateurs se sont succédé pour tirer de ce silence étourdissant des ressources spirituelles inépuisables. Poète protestante de renom, Francine Carrillo sy essaye ici. En 35 poèmes et 12 méditations en prose, elle offre au lecteur une rythmique spirituelle creusant le mystère de limprononçable, « ce nom nouveau que personne ne connaît sinon celui qui le reçoit ».
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L’Imprononçable
Ce nom scellé au revers de notre nom
Qu’est-ce que la vie spirituelle? Une interview de Francine Carrillo, Marie-Laure Chopline et Marion Muller-Colard
« Francine Carrillo entrelace à merveille la réflexion théologique et biblique qu’elle développe dans des introductions à des textes formellement poétiques qui font écho à nos existences. »
Evangile & liberté, février 2015
« A partir de ce nom, Francine Carrillo déploie un splendide recueil, se lançant dans l’impossible tâche de saisir L’Imprononçable. Consciente de cette illusion, elle révèle, dans une série de courts poèmes et de puissantes méditations en prose, ce Dieu qui préfère l’infini au fini. »
La Croix, 11 décembre 2014
« L’Imprononçable nous réconcilie avec ce « Dieu » si malmené par le langage de nos communautés religieuses. Il l’universalise au-delà de toute croyance particulière. Un livre de chevet idéal pour ces prochains mois. »
Choisir, novembre 2014
« Voici un petit livre bien précieux, méditation sur le nom de Dieu, le tétragramme YHWH que nos frères juifs ne prononcent jamais, nom révélé Moïse au buisson ardent, emprunté au verbe essentiel: être. »
Témoignage chrétien supplément, 30 octobre 2014
« Un texte d’une grande finesse, presque une prière. »
Panorama, octobre 2014