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Soigner l’esprit, guérir la terre

Introduction à l’écopsychologie

Fondations écologiques 978-2-8309-1569-3 288 08/04/2015

L'auteur

"Michel Maxime Egger, écothéologien orthodoxe et sociologue, est responsable du Laboratoire de transition intérieure au sein des ONG suisses Pain pour le prochain et Action de Carême. Il a fondé le réseau www.trilogies.org qui met en dialogue traditions spirituelles et grands enjeux de notre temps. Il est codirecteur de la collection Fondations écologiques aux Éditions Labor et Fides."

Pour la première fois dans l’édition francophone, cet ouvrage fait découvrir un mouvement important et quasi inconnu en Europe continentale : l’écopsychologie. Cristallisée dans les années 1990 en Californie et développée depuis lors essentiellement dans le monde anglo-saxon, l’écopsychologie estime que l’écologie et la psychologie ont besoin l’une de l’autre. Pour ses promoteurs, l’aliénation de l’humanité par rapport à son habitat naturel ne serait pas étrangère aux formes d’addiction à la consommation et aux techniques de masse. Pour s’en préserver, ils inventent l’idée féconde d’inconscient écologique à partir de laquelle se profilent des thérapies prometteuses sollicitant l’immersion dans la nature sauvage ou la sollicitation des animaux. Un champ d’intervention important est l’éducation qui doit permettre à l’enfant de se construire une identité personnelle en interrelation non seulement avec la culture et les autres humains, mais avec la nature et le monde du vivant en général.

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« Une réflexion qui pourrait féconder favorablement les courants enclins au changement déjà à l’œuvre en Europe. »
Ultreia!, hiver 2016

« Pour les promoteurs de l’écopsychologie, l’aliénation de l’humanité par rapport à son habitat naturel ne serait pas étrangère aux formes d’addiction à la consommation et aux techniques de masse. Pour s’en préserver, ils inventent l’idée féconde d’inconscient écologique à partir de laquelle se profilent des thérapies prometteuses sollicitant l’immersion dans la nature sauvage ou la sollicitation des animaux. »
Le cercle psy, sept/oct/nov 2015

« La psychologie au secours de l’écologie: éviter le déni et le sentiment d’impuissance, prendre conscience de notre addiction à la consommation, puis essayer de mettre en place des méthodes rapprochant l’humain de la nature. »
Silence, novembre 2015

« Pour nous aider à progresser et à adopter un regard nouveau sur la nature, nous devons commencer par nous détourner de nous-mêmes pour nous recentrer sur la source, Dieu. Ensuite, nous pouvons nous ouvrir à l’action de l’Esprit, en donnant moins de place à notre ego. Le résultat logique? La gratitude. »
Christianisme Aujourd’hui, novembre 2015

« Voici le premier livre de synthèse en français sur cette discipline qui étudie les interactions entre la psyché humaine et la nature, expliquant comment la rupture entre l’homme et la nature est à l’origine de la crise environnementale. »
L’Ecologiste, août/sept/oct 2015

« Michel Maxime Egger n’est pas un Vert comme les autres. Face au défi écologique, il nous invite à changer complètement notre conception de la nature. Sa théorie de l’écospiritualité est un appel à la cohérence intérieure avant tout. »
Christianisme Aujourd’hui, juillet 2015

« L’écopsychologie fait un lien entre les déséquilibres que nous infligeons à la Terre et nos propres déséquilibres. Elle voit l’origine des dérives de notre civilisation dans sa vision dominatrice, dualiste, scientiste, matérialiste et utilitariste du monde. Le parallèle entre écocide et ethnocide est saisissant: quand on est capable de l’un on est capable de l’autre. »
Choisir, septembre 2015

« Un champ d’intervention important est l’éducation qui doit permettre à l’enfant de se construire une identité personnelle en interrelation non seulement avec la culture et les autres humains, mais avec la nature et le monde du vivant en général. »
Reporterre, 19 mai 2015

« On peut remercier l’auteur de nous introduire avec beaucoup d’érudition à un nouveau champ disciplinaire. »
Etudes, juillet/août 2015

« Dans son « ouverture finale », M.M. Egger rappelle que le monde se trouve au cœur d’une « urgence spirituelle collective » et que, dans la mesure où les symptômes de la crise écologique appartiennent à la fois au patient individuel et au corps collectif, il n’y aura pas de transition vers une société qui soutient la vie sans un travail de transformation au double plan de la psyché profonde et des structures politico-économiques. »
Voies de l’Orient, juillet/septembre 2015

« Souvent les psychothérapeutes adaptent le patient à une société déstabilisante, ils soignent les symptômes et pas la cause du mal. Les écopsychologues estiment de leur côté que notre rupture avec la Terre est la source profonde de notre malaise social. C’est pourquoi le livre de Michel Maxime Egger paraît indispensable. »
biosphere.blog.lemonde.fr, 16 juin 2015

« Dans la galaxie des courants qui composent l’écologie, il existe une tradition qui défie la nature et repense, de manière radicale, la place de l’homme dans la nature. Ce courant provoque les chrétiens à reconsidérer leur rapport à la nature de manière responsable. Ils sont aussi poussés à s’émerveiller devant la Création pour approfondir leur connaissance de Dieu. »
La Croix, 4 juin 2015

« Les écologistes se posant des questions sur les raisons de la lassitude que susciterait désormais leur message seraient bien inspirés de lire le remarquable ouvrage de Michel Maxime Egger. Ce n’est pas en bardant notre planète de technologies dites propres ni en usant d’un discours moralisateur que nous nous en sortirons. »
L’Hebdo, 23 avril 2015

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